"Le Jugement Dernier "
1980, aquarelle sur papier, 60/45 cm
  
"Quand tu voudrais ou taire ou nier, reprit-elle,
Les péchés que tu dis, ta coulpe criminelle
Ne saurait échapper à qui rien n'est caché.

Mais quand tombe l'aveu des lèvres du coupable,
Dans notre sainte cour, au pécheur pitoyable,
Sur la meule à rebours le glaive est ébréché."

"Et je vis, de ma vue encor mal assurée,
Béatrix faisant face à la bête sacrée
Dont la nature est double et qui reste unité."

Purgatoire, 8˚ Cercle, Paradis Terrestre
Chant 31, lignes 37-42, 79-81