"Guido del Duca, Rinieri de Calboni , Aglaure, Sapia"
1980, aquarelle sur papier, 60/45 cm
  
"Le bon maître me dit : En ce cercle on flagelle
Le péché de l'envie égoïste et cruelle,
Et c'est pourquoi l'amour tient le fouet dans sa main "

"Alors et mieux qu'avant j'ouvris mon oeil avide
Et je vis les esprits contre le roc livide,
Revêtus de manteaux comme la pierre obscurs."

"Un fil de fer à tous perce et coud la paupière :
C'est ainsi que parfois on ravit la lumière,
Quand on veut le dompter, au sauvage épervier."

Chant 14, lignes 82-84, 139

"Mon sang fut si brûlé par le feu de l'envie,
Qu'un homme montrait-il de la joie en la vie,
De livide pâleur tout mon front se couvrait."

"Je suis Aglaure, Aglaure, hélas ! changée en pierre !"

Purgatoire, 2 Cercle, les Envieux
Chant 13, lignes 37-39, 46-48, 70-72