"Constance et Piccarda"
1982, aquarelle sur papier, 25/20 cm
  
"Et si ce Ciel, le moindre, en bas digne d'envie,
Nous fut donné, c'est que nos saints voeux dans la vie
Ont été négligés en partie ou rompus."

"Et cette autre splendeur à ma droite, qui brille
Et semble resplendir, si fort elle scintille,
De l'éclat le plus vif de notre Ciel profond,

Ce que je dis de moi, d'elle-même le pense.
Elle fut soeur aussi; par même violence
L'ombre des saints bandeaux fut ravie à son front."

Paradis, Premier Ciel, Ciel de la Lune,
Arrachées à leurs Voeux Religieux
Chant 3, lignes 55-57, 109-114