"Le Ciel de la Lune"
1985, aquarelle sur papier, 60/70 cm
  
"Nous fûmes absorbés par la perle éternelle ;
Sans déchirer son sein elle nous reçut : telle
L'onde où, sans la rider, entre un rayon vermeil.

J'étais corps, et s'il est sur terre inconcevable
Qu'une dimension soit d'une autre capable,
Et qu'un corps en pénètre un autre au même lieu"

"Mais dites-moi quels sont, dans ce grand corps lunaire,
Tous ces signes obscurs, et qui font au vulgaire
Conter je ne sais quoi du meurtrier d'Abell ?"

Paradis, Premier Ciel, Ciel de la Lune
Chant 2, lignes 34-39, 49-51