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"Le père de Guido Cavalcanti, Frédéric II, Ubaldini"
1971, aquarelle sur papier, 60/45cm
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"Les sépulcres épars faire saillir la terre,
Ainsi de toutes parts dans ce champ de misère ;
Mais l'aspect en était plus affreux, plus amer.
Entre chaque sépulcre un tourbillon de flammes
S'élevait, embrasant ces tombeaux remplis d'âmes ;
Dans la forge rougi moins brûlant est le fer.
Les couvercles levés de ces tombeaux coupables
En laissaient échapper des accents lamentables :
C'était bien là le cri d'infortunés martyrs."
"Il répondit : Ici sont les hérésiarques
Avec leurs partisans, tous et de toutes marques,
Et le nombre est bien grand de ces infortunés !"
L'Enfer, 6 Cercle, les Hérésiarques, la cité de Dité
Chant 9, lignes 115-123, 127-129
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