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"L'Éternel Ouragan, Achille, Pâris"
1980, aquarelle sur papier, 146/97 cm
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"La foule devant lui toujours se renouvelle ;
Approchant tour à tour, chaque âme criminelle
Parle, entend son arrêt, puis tombe et disparaît."
"Lieux muets de lumière, enceinte mugissante !
C'était comme une mer levée et frémissante
Quand des vents ennemis combattent sur ses flots.
Le souffle impétueux de l'éternel orage
Emportait les esprits comme au gré de sa rage,
Les roulant, les heurtant avec ses tourbillons."
"Allaient, de-ci, de-là, promenés par l'orage.
Jamais aucun espoir pour reprendre courage ;
Nul repos, à leurs maux nul adoucissement."
L'Enfer, 2 Cercle, les Voluptueux, Minos
Chant 5, lignes 13-15, 28-33, 43-45
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