"C'était
à la moitié du trajet de la vie ;
Je me trouvais au fond d'un bois sans éclaircie,
Comme le droit chemin était perdu pour moi.
Ah
! que la retracer est un pénible ouvrage,
Cette forêt épaisse, âpre à l'oeil et
sauvage,
Et dont le seul penser réveille mon effroi !"
"Mais comme j'atteignais le pied d'une colline,
Au point où la vallée obscure se termine,
Qui d'un si grand effroi m'avait poigné le coeur, Je levai
mes regards"
L'Enfer,
la Colline Lumineuse,
la Forêt Obscure, la Porte de l'Enfer
Chant 1, lignes 1-6, 13-16
"C'est par moi que l'on va dans la cité plaintive,
C'est par moi qu'aux tourments éternels on arrive,
C'est par moi qu'on arrive à l'infernal séjour."
Chant
3, lignes 1-3
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